Un replay très intéressant de la culture parisienne

Des images en noir et blanc, un son bien clair même si la bande est très vielle, voilà notre impression quand on écoute le premier enregistrement du son parisien bien avant la guerre en 1912 (cette archive est disponible sur le site « franceculture.fr »).

L’éthique même de Paris

Quand on évoque cette forme de culture parisienne, aussi noble qu’elle soit, il y a tout un programme éducatif qui a fait que le peuple a été bien cadré, et martyrisé pour avoir une allure aristocratique. Aujourd’hui, cette culture très démarquée à l’époque est devenue un mythe à cause de la propagation du marketing à Paris. 

Une culture qui a bien envouté le monde, et c’est pour cela que les hommes étrangers sont fascinés par Paris qu’ils aimeraient avoir une bonne Parisienne comme fréquentation. Les Parisiens ont ce caractère de romanesque, aussi libres qu’ils soient, ils ont établi une façon si persuasive de résister à l’entrée de la culture étrangère, mais cela, c’était avant les années 60 où tout a basculé. Paris reste aux yeux de la France la ville des lumières, l’emblème de l’amour, et surtout une excellente ruée vers une économie propice encore plus évoluée. 

La naissance de la mode à Paris

La mode est née à Paris, c’est la ville qui a su instaurer l’école des stylistes ouvertes pour le monde entier. C’est cette touche d’élégance de son peuple qui a mis l’accent des Parisiens dans le domaine de la mode. Plusieurs de nos stylistes mondiales très réputées sont sorties des instituts de Paris. Vers le 19e siècle, Paris devient l’icône de la mode d’où son ouverture vers plusieurs cultures mondiale qui a fini par occuper une grande place maintenant. Mais la mode de l’époque était une merveille dont on a tous envie de l’atteindre, si raffiné que cela soit, chaque création est devenue une peinture indélébile dans le domaine de la culture. 

Savez-vous que les femmes parisiennes de l’époque ne doivent pas grossir, elles ne doivent pas vieillir et les rides sont interdits, voilà pourquoi elles ne sortent quasiment pas de chez elle.

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